- "On va s'en occuper": Trump accentue son offensive anti-immigration
- Pionnière en Asie du Sud-Est, la Thaïlande célèbre ses premiers mariages LGBT+
- Corée du Sud: la croissance a ralenti fin 2024 sur fond de crise politique
- C1: Dembélé et Barcola, les ailes du désir ont sonné la révolte
- C1: Soirée de folie pour le Paris SG, sortie ratée pour Brest
- Brésil: la surface végétale brûlée par les incendies a bondi de 79% en 2024
- C1: Paris renverse City dans un match d'anthologie et reste en vie
- Immigration, diversité... Trump continue d'empiler les mesures
- C1: le Real Madrid met une manita à Salzbourg, porté par ses nouveaux Galactiques
- Wall Street termine en hausse, entre résultats d'entreprises et intelligence artificielle
- Wembanyama, phénomène inestimable et déjà ambassadeur de la NBA
- C1: battu par Donetsk, Brest voit s'éloigner la qualification directe
- F1: Hamilton ravi de ses "sensations" pour ses premiers essais au volant d'une Ferrari
- Face aux violences, la Colombie réactive les mandats d'arrêt visant les chefs d'une guérilla
- Se disant menacé de disparition, l'acier européen attend des mesures de soutien de l'UE
- Turquie: des négligences graves pointées du doigt après un incendie qui a fait 79 morts
- Les otages français en Iran "de plus en plus désespérés" (soeur de Cécile Kohler)
- Yémen: les Houthis libèrent l'équipage d'un bateau saisi il y a plus d'un an
- En Colombie, la flambée de violence contrarie les ambitions de "paix totale" du gouvernement
- Face à la grogne de ses salariés, Ubisoft revendique "un dialogue social renouvelé"
- La Bourse de Paris portée par les projets IA des Etats-Unis
- Trump menace la Russie de sanctions si elle ne trouve pas d'accord "maintenant" avec l'Ukraine
- Turquie: une série de négligences pointées du doigt après un incendie qui a fait 79 morts
- Trump, qui sature déjà l'espace médiatique, sur Fox News mercredi soir
- Lancement d'importants travaux pour rendre au Rhône un peu de naturel
- Sarajevo encore une fois sur le podium mondial de la pollution
- La diplomatie américaine se met en ordre de marche sous Trump
- Condamné pour agressions sexuelles, Nicolas Bedos se désiste de son appel
- Macron et Scholz promettent une Europe "forte et unie" face à Trump
- Fin de vie: "Pas question d'abandonner" le sujet qui sera à l'agenda parlementaire "le plus vite possible"
- Wall Street ouvre en hausse, tirée par les résultats d'entreprises et des annonces de Trump
- Une série de négligences pointées du doigt en Turquie après l'incendie d'un hôtel d'altitude
- L'Union africaine "consternée" par le retrait américain de l'OMS
- Des actions visent l'OFB dans le Loiret et dans l'Aude
- Conversion de la centrale thermique de Saint-Avold: le temps presse pour les salariés
- Grèce : une statue antique retrouvée "près de poubelles"
- "Merci Dorothée": l'ex-idole des enfants célébrée sur TF1
- Tirs nouris et explosions au deuxième jour de l'opération israélienne en Cisjordanie
- Open d'Australie: "Big Ben" Shelton, enfin l'heure du succès pour le tennis américain ?
- Open d'Australie: Sinner rassurant, Swiatek implacable sur la route du dernier carré
- Masayoshi Son, l'ami japonais de Trump "touché par Midas"
- La difficile ébauche de la Maison du dessin de presse, lancée après Charlie Hebdo
- Ski: après une série d'accidents, le difficile compromis entre vitesse et sécurité
- Biathlon: l'hiver de la maturité pour Lou Jeanmonnot
- Colère en Turquie après la mort de 76 personnes dans un hôtel d'altitude
- "C'est tout ce que j'avais": à Los Angeles, la panique des victimes d'incendie non assurées
- Depuis la France, les regrets éternels d'Olga Mikhaïlova, principale avocate d'Alexeï Navalny
- Après plusieurs grèves, Ubisoft tient une "concertation sociale"
- Levée de boucliers contre l'idée d'une taxation de certains retraités
- Golf: "rêvons d'une victoire en Majeur", ambitionne Pavon
Longue table entre Poutine et Macron: le président français a refusé un dépistage russe
Le Kremlin a expliqué vendredi que la longue table séparant Vladimir Poutine d'Emmanuel Macron lors d'un entretien sur l'Ukraine visait à respecter une distance sanitaire après le refus du président français de se soumettre à un test Covid en Russie.
Les images des deux présidents assis de part et d'autre de cette table blanche longue de six mètres ont suscité de nombreux commentaires, certains y voyant le signe d'une froideur de M. Poutine envers M. Macron qu'il a reçu lundi au Kremlin.
Interrogé par un journaliste qui lui demandait si M. Macron avait bien refusé de se soumettre à un test PCR à son arrivée en Russie, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a répondu par l'affirmative.
"Certains suivent leurs propres règles (...) Mais dans ce cas, un protocole sanitaire est appliqué pour protéger la santé de notre président et celle de son hôte", a déclaré M. Peskov.
"Si les médecins des deux parties interagissent, alors il est possible de réduire la distance", a-t-il ajouté. Ces dernières semaines, M. Poutine a affiché une plus grande proximité physique avec certains responsables étrangers en visite et qui s'étaient soumis au protocole sanitaire russe.
"Il n'y a pas de considérations politiques sur ce sujet" et la distance physique "n'interfère en rien avec les négociations", a-t-il insisté.
L'Elysée a, de son côté, justifié cette position en indiquant que "les conditions protocolaires permettant un entretien entre les deux chefs d'Etat avec une distanciation moindre (contact avec serrage de mains et table plus petite) imposaient un protocole sanitaire qui ne nous paraissait ni acceptable ni compatible avec les contraintes d'agenda qui étaient les nôtres".
"Nous avons choisi l'autre option proposée par le protocole russe", a souligné l'entourage du président français.
Depuis janvier, le Premier ministre hongrois et le président iranien Ebrahim Raissi, deux alliés de la Russie, ont ainsi aussi été assis à la grande table de six mètres du Kremlin.
Le président argentin Alberto Fernandez et le président Kazakh Kassym-Jomart Tokaïev ont par contre été assis à proximité immédiate de M. Poutine.
Les mesures sanitaires ont été considérablement renforcées au Kremlin depuis le début de la pandémie de nouveau coronavirus. Les journalistes sont soumis à plusieurs tests de dépistage avant les conférences de presse et M. Poutine, 69 ans, s'affiche régulièrement à plusieurs mètres de distance de ses hôtes.
Le déplacement de M. Macron à Moscou lundi visait à faire baisser les tensions entre la Russie et l'Ukraine, qui n'ont cessé de se renforcer ces derniers mois.
La Russie a massé plus de 100.000 militaires aux frontières de l'Ukraine et l'Occident l'accuse de préparer une agression de ce pays, ce que Moscou dément.
O.Norris--AMWN