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Attal et Renaissance se donnent "deux ans pour la France", 2027 en ligne de mire
"Attal, président". Sous les ovations des militants Renaissance, Gabriel Attal a lancé dimanche une opération "deux ans pour la France" pour aboutir à un "projet pour le pays" qui prévoira un "changement profond", malgré l'héritage revendiqué d'Emmanuel Macron.
L'ancien Premier ministre organisait dimanche à la Cité du Cinéma, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), son premier grand évènement depuis son élection à la tête de Renaissance début décembre.
Prévu depuis des mois, ce meeting a été rattrapé par la manifestation convoquée par le Rassemblement national pour protester contre la condamnation judiciaire de Marine Le Pen.
"Tu voles, tu paies", a lancé M. Attal à l'attention de la leader du RN, déclinant la formule choc ("tu casses, tu répares...) de sa déclaration de politique générale, lors de son bref passage à Matignon.
Si l'actualité politico-judiciaire et la situation internationale ont coloré les échanges - la présidente géorgienne Salomé Zourabichvili et la députée ukrainienne Liudmyla Buimister se sont notamment exprimées -, M. Attal n'en a pas moins clairement mis le cap sur 2027.
Devant ses partisans - 8.850 tout au long de la journée selon le parti, un peu moins de 5.000 lors du discours final -, le patron de Renaissance a lancé "un nouveau temps politique", qu'il a appelé "deux ans pour la France", censé aboutir dès l'an prochain à un "projet complet pour le pays".
Ce projet "devra être celui d'un changement profond. Cela peut paraître paradoxal pour un parti qui a gouverné le pays jusqu'à l'été dernier, mais le changement profond, ce n'est pas renier notre bilan, c'est avoir le courage de se réinventer sans se renier, de reconnaître nos succès comme nos échecs", a-t-il expliqué.
M. Attal a rendu hommage à Emmanuel Macron, avec qui les relations sont dégradées depuis la dissolution. Le chef de l’État, fondateur du parti en 2016, a tweeté sa "reconnaissance infinie" envers ses soutiens et son "espoir tout aussi grand pour notre avenir et ce qui nous reste à accomplir". Sans toutefois mentionner son ancien Premier ministre.
-"Champ de ruines"-
"La politique française est malade. Et depuis l’été dernier, elle est un véritable champ de ruine", a jugé Gabriel Attal.
Le patron de Renaissance aura fort à faire au sein du "bloc central". Ses principaux dirigeants, conviés en matinée à la Cité du cinéma, ont rivalisé d'appels à l'unité, sans vraiment aborder les sujets qui fâchent.
Si François Bayrou a jugé que les "sensibilités différentes" de ce bloc devaient "continuer" à travailler ensemble, il n'a pas évoqué sa volonté de fusionner Renaissance avec son parti, le MoDem, comme il l'a fait dans un entretien au Parisien, après que l'idée a été évoquée par Élisabeth Borne.
La ministre de l’Éducation, présidente du Conseil national de Renaissance - sorte de parlement du parti- a suscité, mezza vocce, des critiques en interne. "Une démarche pour savonner la planche d'Attal à la veille du meeting", juge un adhérent du parti.
Candidat déclaré à l’Élysée et déjà en campagne, Édouard Philippe a de son côté plaidé pour "une base large et un projet clair".
"Nous ne pourrons prévaloir qu'avec une base plus large". "Le bloc central (...) a vocation à devenir un bloc républicain et démocrate", un rassemblement allant "de la droite conservatrice à la social-démocratie", a expliqué le maire du Havre.
Proche d’Édouard Philippe - il s'est exprimé lors de son dernier meeting à Lille - mais membre de Renaissance, Gérald Darmanin s'est prononcé pour une candidature commune du bloc central et des Républicains (LR).
"Si nous sommes plusieurs candidats à la présidentielle, nous ne serons pas au second tour". "Je dis aussi à Laurent Wauquiez, je dis aussi à Bruno Retailleau que leur place est parmi nous", a lancé le garde des Sceaux.
Le président de l'UDI, Hervé Marseille, a plaidé pour la plus large unité dès les élections municipales de mars 2026. "Quand on est à Toulon face au RN, quand on est à Roubaix face à LFI, il n'y a qu'une seule solution, c'est de se rassembler le plus fortement possible, le plus concrètement possible et même aller au-delà, aller au-delà de notre rassemblement", a expliqué le sénateur des Hauts-de-Seine.
J.Oliveira--AMWN