
-
Les Trinidadiens ont voté pour décider de leur Premier ministre, l'opposition favorite
-
Les Trinidadiens ont voté pour élire leur Premier ministre, l'opposition favorite
-
Ukraine: Poutine annonce une trêve du 8 au 10 mai, "tentative de "manipulation" répond Zelensky
-
Wall Street prudente avant une salve de résultats et indicateurs économiques
-
Explosion dans un port en Iran: le ministre de l'Intérieur pointe la "négligence", 70 morts
-
Les Trinidadiens votent pour décider de leur Premier ministre, l'opposition favorite
-
C1: Le PSG et Arsenal "se ressemblent", assure Luis Enrique
-
Jeff Bezos lance à son tour sa constellation satellitaire
-
La Bourse de Paris termine en hausse
-
Explosion dans un port en Iran: le ministre de l'Intérieur pointe la "négligence", 65 morts
-
Ligue des champions: quatre prétendants pour une couronne
-
Chaos dans les rues d'Espagne, frappée par une panne d'électricité géante
-
Malmené dans les sondages, Trump vante sa politique d'expulsions massives
-
Les Bourses européennes terminent en petite hausse
-
Cannes: l'actrice Halle Berry, l'écrivaine Leïla Slimani et le cinéaste Hong Sangsoo membres du jury (festival)
-
Explosion dans un port en Iran: le ministre de l'Intérieur pointe la "négligence", 46 morts
-
Wall Street sans direction claire, avant une vague de données économiques
-
Friedrich Merz promet de soutenir Kiev pour préserver "la paix" en Allemagne
-
Feuille de route énergétique: Bayrou ménage le RN en repoussant la publication d'un décret
-
Ukraine : Poutine annonce une trêve du 8 au 10 mai, Kiev demande "pourquoi attendre ?"
-
Françoise Bettencourt Meyers, l'héritière discrète de L'Oréal
-
Wall Street en hausse, avant une vague de données économiques
-
Le Canada vote sous la menace de Trump
-
Ligue des champions - PSG: effacer les doutes pour rêver à la finale
-
Une coupure de courant "massive" touche "toute la péninsule ibérique"
-
Kim Kardashian et les "papys braqueurs": le procès du retentissant braquage s'est ouvert à Paris
-
Décès de l'économiste français Michel Aglietta
-
Allemagne: le futur gouvernement de Friedrich Merz prend forme
-
Après trois jours de cavale, le meurtrier de la mosquée de La Grand-Combe s'est livré en italie
-
Budget 2026/contribution pour les collectivités: "rien n'est arbitré" par le gouvernement, assure sa porte-parole
-
Le conclave, chargé d'élire le nouveau pape, débutera le 7 mai
-
Iran: un grand port toujours en feu deux jours après une explosion, le bilan monte à 46 morts
-
CIJ: Israël utilise le blocage de l'aide comme "arme de guerre" à Gaza, selon le représentant palestinien
-
A la frontière du Pakistan, des villageois indiens inquiets et fatalistes
-
Le Vatican suspendu à l'annonce de la date du conclave, qui doit élire le futur pape
-
La Bourse de Paris profite de l'accalmie pour la guerre commerciale
-
Cyclisme: une saison des classiques déjà culte
-
Le Canada vote après une campagne à l'ombre de Trump
-
Le meurtrier de la mosquée de La Grand-Combe s'est rendu en Italie
-
Basket: le Paris Basketball et sa salle conquis par "le phénomène Euroligue"
-
C1: Arsenal-PSG, des duels aux quatre coins de l'affiche
-
Meurtre dans une mosquée: le suspect s'est rendu dans un commissariat en Italie
-
Play-offs NBA: les Lakers au bord de l'élimination contre Minnesota, l'inquiétude Lillard
-
Washington dit croire Zelensky prêt à renoncer à la Crimée à l'aube d'une "semaine cruciale"
-
Play-offs NBA: les Lakers battus sur le fil à Minnesota et au bord de l'élimination au premier tour
-
Canada: le suspect de l'attaque à la voiture-bélier qui a fait 11 morts inculpé
-
Hausse "sans précédent" des dépenses militaires depuis la fin de la Guerre froide
-
La CIJ ouvre les audiences sur les obligations humanitaires d'Israël
-
Les cardinaux doivent arrêter le calendrier du conclave pour élire un nouveau pape
-
Le procès du retentissant braquage de Kim Kardashian en 2016 s'ouvre à Paris

Turquie: un juge décide du sort du maire d'opposition d'Istanbul
Un juge doit décider dimanche matin de l'incarcération ou de la remise en liberté du maire d'opposition d'Istanbul Ekrem Imamoglu, dont l'arrestation mercredi pour "corruption" et "terrorisme" a déclenché une vague de contestation en Turquie.
M. Imamoglu, principal rival du président Recep Tayyip Erdogan, avait été amené samedi soir avec 90 de ses co-accusés au tribunal stambouliote de Caglayan, protégé par un très important dispositif policier, avant d'y être entendu à deux reprises dans la nuit.
La justice a commencé à se prononcer dimanche matin sur l'incarcération de plusieurs des co-accusés du maire, selon des médias turcs.
Jusque tard, des dizaines de milliers de personnes étaient rassemblées devant l'hôtel de ville d'Istanbul pour le quatrième soir consécutif à l'appel de l'opposition afin d'y soutenir M. Imamoglu, qui a dénoncé des accusations "immorales et sans fondement" à son encontre.
Des manifestants ont passé la nuit à l'intérieur de la mairie, certains tentant de trouver le sommeil sur des chaises disposées dans le hall du vaste bâtiment en attendant d'être fixés sur le sort du maire, a constaté un photographe de l'AFP.
Pour tenter de prévenir des troubles, le gouvernorat d'Istanbul a prolongé l'interdiction de rassemblements jusqu'à mercredi soir et annoncé des restrictions d'entrée dans la ville aux personnes susceptibles de participer à des rassemblements, sans préciser comment il les mettrait en oeuvre.
L'accusation de "soutien à une organisation terroriste" contre M. Imamoglu, figure du Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate), principale force d'opposition, fait redouter à ses soutiens son remplacement par un administrateur nommé par l'Etat à la tête de la plus grande ville du pays s'il est incarcéré.
- "illégal" -
Depuis mercredi, la contestation déclenchée par son arrestation s'est répandue à travers la Turquie, atteignant une ampleur inédite depuis le grand mouvement de contestation de Gezi, en 2013, parti de la place Taksim d'Istanbul.
Des rassemblements ont eu lieu dans au moins 55 des 81 provinces turques, soit plus des deux tiers du pays, selon un décompte effectué samedi par l'AFP.
Ces manifestations ont débouché sur des centaines d'arrestations dans au moins neuf villes du pays, selon les autorités.
"Tout comme les gens sont descendus dans les rues pour soutenir Erdogan lors de (la tentative) de coup d'Etat du 15 juillet (2016), nous sommes dans la rue pour soutenir Imamoglu", a déclaré samedi soir à l'AFP Aykut Cenk, 30 ans.
"Nous ne sommes pas les ennemis de l'Etat mais ce qui se passe est illégal", a-t-il ajouté en brandissant un drapeau turc devant le tribunal stambouliote de Caglayan où le maire était entendu.
Paris et Berlin ainsi que les maires de plusieurs grandes villes européennes avaient également condamné dès mercredi l'arrestation de M. Imamoglu.
En réponse à la contestation, le président Erdogan, qui a lui-même été maire d'Istanbul dans les années 90, a juré de ne pas céder à la "terreur de la rue".
Ekrem Imamoglu, 53 ans, est devenu la bête noire du président turc en ravissant en 2019 la capitale économique du pays au Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) du chef de l'Etat, qui gardait la main sur Istanbul avec son camp depuis vingt-cinq ans.
L'édile d'opposition, triomphalement réélu l'an passé, devait assister initialement dimanche à son investiture en tant que candidat de son parti pour la prochaine présidentielle, prévue en 2028.
Le CHP a décidé de maintenir l'organisation de cette primaire, qui a démarré à 08H00 locales (05H00 GMT), et a appelé tous les Turcs, même non inscrits au parti, à y prendre part.
Y.Nakamura--AMWN