
-
Le Hamas dit être prêt à libérer un otage, Israël crie à la "manipulation"
-
Poutine appelle les Ukrainiens à se rendre, Trump juge les discussions "productives"
-
La BBC trouve un accord avec quatre femmes journalistes qui l'attaquaient pour discrimination
-
Corruption: le Parlement européen suspend ses accès aux représentants de Huawei
-
Procès en diffamation d'un journaliste du Point: Corbière et Garrido fixés le 12 mai
-
L'ex-espoir du cinéma Dylan Robert à nouveau condamné, cette fois pour un car-jacking
-
Comparution de Duterte devant la CPI : larmes et mépris des familles des victimes
-
Six nations: Ramos "se bonifie comme le bon vin", juge Michalak
-
A Libourne, la copie d'une toile d'un grand maître italien qui n'en était pas une
-
Un G7 unifié menace la Russie de sanctions si elle n'accepte pas la trêve
-
Sebastian Coe critique le système d'élection du président du CIO
-
Allemagne: la voie est libre pour le plan d'investissements géant de Merz
-
La Bourse de Paris en hausse, portée par le plan d'investissement allemand
-
Départ imminent de la mission devant permettre le retour des astronautes coincés dans l'ISS
-
Jour de potentiel "shutdown" budgétaire aux Etats-Unis
-
Football: un groupe de socios de l'AS Saint-Etienne dénonce la menace de dissolution de groupes de supporters
-
Procès en diffamation d'un journaliste du Point: Raquel Garrido et Alexis Corbière dénoncent un travail "bâclé"
-
Le nouveau Nutri-Score validé, après des dissensions gouvernementales
-
Gaza: le Hamas dit être prêt à libérer un otage, Israël crie à la "manipulation"
-
Conflit dans l'est de la RDC: extraction suspendue dans la 3e mine d'étain au monde
-
Des stars du foot soutiennent le pape hospitalisé depuis un mois
-
Ukraine: Trump appelle Poutine à la clémence, le président russe réservé à l'idée d'une trêve
-
Paris-Nice: Pedersen et Visma brillent sous le déluge
-
Conflit sur la succession de Claude Berri: sept personnes mises en examen dont Darius Langmann et Nathalie Rheims
-
L'ex-banquier Mark Carney, atypique nouveau Premier ministre canadien
-
Ski: un podium pour les Bleues, grâce à Romane Miradoli à La Thuile
-
L'ex-président philippin Duterte comparaît devant la CPI, mais en visioconférence
-
Extension de la chasse au cerf: le gouvernement n'a "pas tranché"
-
De Burger King au Paradis du Fruit, le groupe Bertrand ouvre un restaurant "tous les deux jours"
-
Première visite de druzes syriens en Israël depuis cinquante ans
-
Angleterre: Tuchel veut s'inspirer de la Premier League, pas "imiter" les autres
-
Au Mipim, les investisseurs courtisés pour réinvestir dans le logement
-
Un néonazi russe condamné à la pérpétuité en Finlande pour des crimes de guerre en Ukraine
-
Six nations: le XV de France va devoir finir le travail contre l'Ecosse pour décrocher le trophée
-
Ski alpin: Brignone (presque) sur le toit du monde à La Thuile
-
A 200% de droits de douane sur l'alcool européen, "le business s'arrête", craignent les professionnels
-
Royaume-Uni: l'économie fait marche arrière et met le gouvernement sous pression
-
Conflit dans l'est de la RDC: extraction suspendue dans la 3e mine d'étain au monde (propriétaire)
-
Ski: Federica Brignone quasiment assurée de remporter la Coupe du monde
-
Droits de douane et craintes géopolitiques propulsent l'or à plus de 3.000 dollars
-
La guerre commerciale est "très mauvaise d'abord pour l'économie américaine", selon Villeroy de Galhau
-
Licenciements de fonctionnaires: l'ex-patron de l'agence météo américaine tire la sonnette d'alarme
-
Montée au capital de Commerzbank: feu vert de la BCE, mais UniCredit temporise
-
La guerre commerciale est "très mauvaise d'abord pour l'économie américaine" (Villeroy de Galhau)
-
LVMH: Bernard Arnault pourrait rester à la tête du groupe jusque 85 ans
-
Ethiopie: au Tigré, "les gens sont terrifiés" par un possible retour de la guerre
-
LVMH: Bernard Arnaut pourrait rester à la tête du groupe jusque 85 ans
-
Narcotrafic: le long du tram à Avignon, la fusillade de trop
-
L'ex-président philippin Duterte s'apprête à comparaître devant la CPI
-
La Bourse de Paris avance, le regard fixé sur les Etats-Unis

Ukraine: Trump appelle Poutine à la clémence, le président russe réservé à l'idée d'une trêve
Donald Trump a appelé vendredi Vladimir Poutine à "épargner la vie" de "milliers de soldats" ukrainiens sur le front, l'idée d'un cessez-le-feu faisant l'objet à la fois de réserves et d'un "optimisme" prudent de la part de Moscou.
"Actuellement, des milliers de soldats ukrainiens sont complètement encerclés par l'armée russe, ils sont dans une position vulnérable et très mauvaise. J'ai demandé à Vladimir Poutine d'épargner leurs vies avec insistance", a écrit Donald Trump sur sa plateforme Truth Social.
Le président américain a également évoqué "de très bonnes et productives discussions" avec son homologue russe jeudi.
La Maison Blanche a précisé que les deux chefs d'Etat ne s'étaient pas directement parlé, et qu'aucun appel entre eux n'était prévu vendredi, même si "cela peut bien sûr changer".
L'armée ukrainienne a pour sa part nié que ses forces soient encerclées dans la région russe de Koursk, où elle contrôle des territoires. "Il n'y a pas de menace d'encerclement de nos unités", a affirmé l'état-major de l'armée sur Facebook.
Les Etats-Unis réclament une trêve au plus vite et ont exercé une pression considérable sur le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qui a finalement accepté mardi une cessation des hostilités de 30 jours dans la mesure où la Russie s'y plierait aussi.
Donald Trump, qui a adopté nombre de positions du Kremlin, au grand dam de Kiev et de l'Europe, veut que Moscou fasse rapidement taire les armes, mais le président russe semble faire durer les choses. D'autant que ses forces ont l'avantage sur le terrain après avoir repris ces derniers jours du terrain dans la région de Koursk.
Vladimir Poutine a reçu dans ce contexte jeudi soir l'émissaire américain Steve Witkoff, qui a été chargé de remettre un message à Donald Trump.
Le président russe a "transmis via Witkoff des informations et des indications supplémentaires à l'attention du président Trump", a dit vendredi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien, auquel participe l'AFP.
- Revendications maximalistes -
"Quand M. Witkoff apportera toutes les informations au président Trump, nous déterminerons le timing pour une conversation" entre les deux chefs d'Etat, a-t-il ajouté, se déclarant "prudemment optimiste".
Jusqu'ici, la Russie a émis des revendications maximalistes pour une cessation des hostilités: reddition ukrainienne, cession par l'Ukraine de cinq régions annexées par la Russie, abandon des ambitions de Kiev de rejoindre l'Otan, démantèlement du pouvoir ukrainien en place.
Les autorités russes, Vladimir Poutine en tête, ont toujours affirmé qu'une trêve temporaire ne résoudrait pas les "causes profondes" du conflit, et que donc Moscou n'y serait pas favorable.
"Nous sommes d'accord avec les propositions visant à mettre fin aux hostilités, mais nous partons du principe que cette trêve doit conduire à une paix durable et s'attaquer aux causes profondes de cette crise", a encore martelé le président russe jeudi, invoquant des réserves et des "questions importantes" à régler.
Il a tout de même pris soin de ne pas rejeter complètement l'initiative de Donald Trump.
Berlin a dénoncé vendredi une "manoeuvre dilatoire" de Vladimir Poutine.
"Nous voyons que c'est la Russie qui veut continuer son agression, continuer la guerre. L'Ukraine a clairement dit +oui+ au cessez-le-feu", a jugé devant la presse vendredi le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Andriï Sybiga.
- Frappes de drones -
Donald Trump, tout en qualifiant de "très prometteurs" les propos de son homologue russe, a averti que "ce serait un moment très décevant" si Vladimir Poutine rejetait son plan.
Sur le terrain, les forces armées russes poursuivent leur contre-offensive pour regagner les centaines de kilomètres carrés de la région de Koursk qui sont sous contrôle ukrainien depuis l'été.
Une percée a permis aux Russes de reprendre en quelques jours l'essentiel du territoire perdu, en particulier la ville de Soudja, qui selon Moscou a été "libérée" jeudi.
Vendredi, l'armée russe a revendiqué la reconquête de Gontcharovka, une localité voisine.
D'ailleurs, Vladimir Poutine a semblé vouloir conditionner jeudi toute idée de trêve à la reprise de la totalité de cette région.
En l'absence de cessation des hostilités, la Russie a donc continué de bombarder l'Ukraine dans la nuit de jeudi à vendredi, comme elle le fait presque chaque nuit depuis trois ans et le début de son assaut.
Les forces ukrainiennes, qui répliquent aux attaques russes avec leurs propres frappes de drones, ont dit vendredi avoir touché dans la nuit un entrepôt de missiles dans la région frontalière de Belgorod, et deux stations de compression de gaz situés à des centaines de kilomètres du front.
H.E.Young--AMWN