
-
La Bourse de Paris tournée vers le résultat des élections législatives allemandes
-
Evasion du narcotrafiquant Mohamed Amra: nouvelle vague d'interpellations
-
Six nations: de Rome à Dublin, l'heure des choix pour Galthié
-
Le consulat de Russie à Marseille pris pour cible, Moscou dénonce une "attaque terroriste"
-
Pédocriminalité: début du procès de l'ex-chirurgien Joël Le Scouarnec face à 299 victimes à Vannes
-
L1: Longoria "regrette" et admet qu'il n'y a "pas de corruption dans le foot français"
-
Apple promet 500 milliards de dollars d'investissement aux États-Unis sur quatre ans
-
Le Conseil de l'Europe réaffirme son "entier soutien" à l'Ukraine
-
Evasion du narcotrafiquant Mohamed Amra: une quinzaine de nouvelles interpellations
-
En Corée du Sud, les fans de "Bioman" retrouvent leurs super-héros japonais
-
Le consulat général de Russie à Marseille visé par des jets de bouteilles suivis de détonations, ni blessé, ni dégât
-
Allemagne: Friedrich Merz en quête d'alliés pour s'installer rapidement au pouvoir
-
Avec l'intelligence artificielle, des mannequins adaptables à l'infini
-
En Chine, l'atelier du monde secoué par les taxes de Trump
-
L1/arbitrage: "Pas de corruption dans le foot français", admet le président de l'OM Pablo Longoria à l'AFP
-
Trois engins explosifs lancés contre le consulat général de Russie à Marseille, pas de blessés
-
L'UE suspend des sanctions visant des secteurs économiques clés en Syrie
-
En Ukraine, se préparer à la "prochaine" guerre contre la Russie
-
NBA: Cleveland et Boston enchaînent
-
Au marché aux bovins de Saint-Christophe, les enchères montent, les éleveurs respirent
-
Bourses européennes: Francfort ouvre en hausse au lendemain des élections
-
"Il voyait tout blanc": en Turquie, l'alcool frelaté provoque une hécatombe
-
"L'horrible" guerre de Iouri, vétéran russe du front ukrainien
-
Mexique: les expulsions massives de Trump n'ont pas encore eu lieu
-
Plongée au coeur de la bande criminelle corse du "Petit Bar"
-
Civelles: face à la menace d'extinction, le pari du repeuplement
-
En Ukraine, des écoles souterraines pour apprendre en sécurité
-
L'Indonésie lance un fonds souverain visant à détenir 900 milliards de dollars d'actifs
-
Le chinois Alibaba va investir 50 milliards d'euros dans l'IA et le cloud
-
Trois ans après l'invasion russe, confusion et divisions à l'ONU
-
Allemagne: Friedrich Merz en quête d'alliés pour gouverner après une victoire étriquée
-
Climat: bataille politique sur le calendrier du prochain rapport du Giec
-
Pédocriminalité: l'ex-chirurgien Joël Le Scouarnec face à 299 victimes à Vannes
-
Sommet à Kiev pour le troisième anniversaire de l'invasion russe
-
Allemagne: les conservateurs vainqueurs des élections, record pour l'extrême droite
-
Des agences américaines s'opposent à Musk, qui demande des comptes aux fonctionnaires
-
ATP 500 de Rio: fin du rêve brésilien de Muller, doublé de Baez
-
Top 14: victoire dans la souffrance de l'UBB face à Clermont
-
Espagne: le Real Madrid surclasse Gérone et revient à hauteur du FC Barcelone
-
Ligue 1: Paris vainqueur logique mais Lyon y a cru jusqu'au bout
-
Pentagone, FBI et d'autres agences demandent aux fonctionnaires de ne pas répondre à l'ordre de Musk
-
Les conservateurs vainqueurs des élections, record pour l'extrême droite
-
Ligue 1: un Nice en maîtrise bat Montpellier et retrouve le podium
-
Foot: Liverpool domine Manchester City (2-0) et fonce vers le titre
-
Mondiaux de biathlon: record français de médailles égalé grâce à l'argent de Michelon
-
Six nations: Léo Barré, l'arrière qui se met en avant
-
Six nations: la France, en démonstration face à l'Italie, repart de l'avant
-
Allemagne : les conservateurs remportent les élections, record pour l'extrême droite
-
Pour l'Ukraine, trois ans de guerre et le défi de soigner
-
Zelensky prêt à quitter la présidence ukrainienne en échange d'une adhésion à l'Otan

Ukraine: entretien de la dernière chance Macron-Poutine, tensions extrêmes sur le front
Le président français Emmanuel Macron a un entretien de la dernière chance dimanche avec Vladimir Poutine pour tenter d'éviter une invasion russe de l'Ukraine, où les tensions sont de plus en plus fortes sur la ligne de front dans l'est.
Cet entretien prévu à 10H00 GMT est maintenu alors même que Kiev appelle désormais ses alliés occidentaux à cesser toute politique "d'apaisement" à l'égard de Moscou, accusé par Washington et Kiev d'avoir massé 150.000 soldats aux frontières orientales ukrainiennes.
Après leur rencontre du 7 février à Moscou, cette discussion entre les présidents français et russe constitue "les derniers efforts possibles et nécessaires pour éviter un conflit majeur en Ukraine", a souligné l'Elysée.
- A tout moment -
La Russie peut lancer une attaque sur l'Ukraine "à tout moment", répète de son côté la Maison Blanche.
Le président américain Joe Biden doit participer dimanche à une rare réunion du Conseil de sécurité nationale consacrée à la crise ukrainienne, quelques jours avant un entretien entre son secrétaire d'Etat Antony Blinken et son homologue russe Sergueï Lavrov, jeudi 24 février.
Mais les voyants sont désormais au rouge, avec l'Otan qui estime que "tous les signes indiquent que la Russie prévoit une attaque complète" de l'Ukraine.
Emmanuel Macron s'était entretenu samedi avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, qui dit ne pas vouloir "riposter aux provocations le long de la ligne de contact", selon l'Elysée. Volodymyr Zelensky lui a "confié de dire à Vladimir Poutine la disponibilité de l'Ukraine à dialoguer", a souligné la présidence française.
"Une action militaire russe contre l'Ukraine porterait la guerre au cœur de l'Europe", a martelé un conseiller présidentiel français, en évoquant un risque de conflit "en Ukraine et autour". Il n'y aurait alors "pas d'autre option possible qu'une réaction très forte", a-t-il ajouté.
Les séparatistes pro-russes de l'est ukrainien, qui accusent Kiev de vouloir les attaquer, ont annoncé samedi une "mobilisation générale" des hommes en état de combattre, après avoir ordonné l'évacuation de civils vers la Russie voisine.
Dans la nuit de samedi à dimanche, les agences russes ont signalé des tirs d'artillerie dans la banlieue de Donetsk, à proximité immédiate de la ligne de front.
Le Kremlin nie toute intention d'attaquer l'Ukraine voisine, que le Kremlin veut faire revenir dans sa sphère d'influence.
Moscou conditionne la désescalade à des "garanties" pour sa sécurité, comme le retrait d'Europe de l'Est de l'infrastructure militaire de l'Otan et l'assurance que l'Ukraine n'adhèrera jamais à l'Alliance atlantique, des demandes inacceptables pour les Occidentaux.
- Combats sur le front est -
Sur le front, dans l'est de l'Ukraine, les combats ont redoublé. Kiev et les séparatistes soutenus par Moscou s'accusent mutuellement d'envenimer ce conflit qui a fait plus de 14.000 morts depuis 2014.
La région russe de Rostov, frontalière de l'Ukraine, a déclaré l'état d'urgence pour faire face à un possible afflux de réfugiés en provenance des zones séparatistes.
Selon les derniers chiffres des séparatistes, plus de 22.000 personnes ont été évacuées en Russie, chiffre faible pour des zones où vivent plusieurs centaines de milliers de personnes.
Depuis près de trois mois, Washington n'a cessé de sonner l'alerte sur les préparatifs d'une offensive russe en Ukraine.
Vendredi, M. Biden s'était dit, pour la première fois, "convaincu" que son homologue russe Vladimir Poutine avait décidé d'envahir l'Ukraine "dans les prochains jours", et que la multiplication actuelle des heurts sur la ligne de front dans l'est du pays visait à créer une "fausse justification" pour lancer l'offensive.
"Pas de guerre avec la Russie", "Plus de guerre, ni froide, ni chaude. Ce dont on a besoin c'est d'amour", disaient les panneaux brandis lors d'une petite manifestation samedi à New-York.
A Varsovie, une manifestation de solidarité avec l'Ukraine est prévue dimanche à la mi-journée, au moment où s'achève la Conférence de sécurité de Munich.
Samedi, le président ukrainien y avait exhorté les Occidentaux à cesser leur politique "d'apaisement" vis-à-vis de Moscou et à augmenter leur aide militaire à Kiev, "bouclier de l'Europe".
burs-dth/roc
S.Gregor--AMWN