
-
L'Equateur réduit ses exportations de pétrole après une grave fuite d'hydrocarbures
-
Retour sur Terre réussi pour les astronautes américains qui étaient coincés dans l'espace
-
La Banque du Japon maintient inchangés ses taux, sur fond d'"incertitudes" économiques
-
Grâce à un robot privé, la Nasa capture un coucher de soleil lunaire
-
Les Houthis revendiquent une 4e attaque contre le porte-avions américain en mer Rouge
-
Zelensky fait état de nouvelles frappes après l'accord Trump-Poutine sur une trève limitée
-
Les deux astronautes américains enfin de retour sur Terre, après neuf mois dans l'ISS
-
La Côte d'Azur secouée par un séisme de magnitude 4,1 et ses répliques
-
Ligue des champions féminine: Lyon, un pied en demi-finale
-
Retour sur Terre des deux astronautes américains qui étaient coincés dans l'ISS
-
Est de la RDC: rencontre surprise Tshisekedi-Kagame à Doha, un cessez-le feu évoqué
-
Immigration: le Sénat adopte deux textes LR chers à Retailleau
-
Il n'y avait rien de "médical" dans la chambre de Maradona, témoignent des policiers au procès
-
En Iran, la Fête du feu comme remède contre la morosité
-
Nigeria: incendie sur l'un des principaux oléoducs du pays
-
Un tribunal fédéral juge les actions de Doge concernant l'USAID "probablement" inconstitutionnelles
-
Guadeloupe: deux ans prison requis contre l'ancien PDG d'Air Antilles, accusé de détournement d'aides Covid
-
Ce que l'on sait du coup de fil entre Trump et Poutine
-
Google parie sur la cybersécurité et lâche 32 milliards de dollars pour Wiz
-
Gaza: des proches d'otages accusent Netanyahu de "sacrifier" les captifs
-
Wall Street déprime, les incertitudes continuent de peser
-
Colombie: Petro appelle la rue au soutien de ses réformes sur le travail et la santé
-
La Côte d'Azur secouée par un séisme de magnitude 4,1
-
Equipe de France: Doué déjà mûr
-
Netanyahu prévient que les frappes meurtrières à Gaza ne sont que "le début"
-
La menace russe concerne tous les pays de l'UE, souligne le président du Conseil européen
-
En visite en Martinique, Valls annonce un projet de loi contre la vie chère en Outre-mer
-
Israël va poursuivre ses opérations militaires à Gaza après des frappes sanglantes
-
Deezer fait croître son chiffre d'affaires et réduit ses pertes en 2024
-
Face à la flambée des méningites, la vaccination pourrait encore s'élargir en France
-
Pour RFK Jr, des débuts tumultueux au ministère américain de la Santé
-
La Bourse de Paris salue l'adoption du plan d'investissements allemand
-
Turquie : nouvel obstacle pour une candidature à la présidence du maire d'opposition d'Istanbul
-
France: 500 ex-journalistes de médias du milliardaire Vincent Bolloré tenus au silence, accuse RSF
-
Imamoglu, le maire d'Istanbul dans le viseur d'Erdogan
-
Le Soudan du Sud "au bord d'une rechute dans la guerre civile": 50.000 déplacés par des affrontements
-
Devoir de vigilance : La Poste fixée sur son sort le 17 juin
-
Côte d'Ivoire: menaces sur les candidatures de Gbagbo, Soro, et Blé Goudé à la présidentielle
-
"On se connaît tous": tristesse et colère en Macédoine du Nord après l'incendie d'une discothèque
-
Condamnations internationales après des raids israéliens sanglants à Gaza
-
Gad Elmaleh transforme Michou en comedy club pour "voir naître des carrières"
-
La génération "boys bands" remet le son
-
Chypre: Guterres réunit les dirigeants rivaux à Genève pour relancer le dialogue
-
Afrique du Sud: des mesures pour protéger les manchots africains, menacés d'extinction
-
"L’ourse m'a attaqué, j'ai paniqué, j'ai tiré", dit le chasseur jugé pour destruction d'espèce protégée
-
Feu vert des députés au "bazooka" budgétaire pour réarmer l'Allemagne
-
Hong Kong, dernier bastion des échafaudages en bambou, va passer aux structures métalliques
-
"On se connaît tous": tristesse et colère en Macédoine du Nord après l'incendie du Pulse
-
En première classe, le même avion mais pas le même voyage
-
Royaume-Uni: les travaillistes coupent 5 milliards dans les aides au handicap

Il n'y avait rien de "médical" dans la chambre de Maradona, témoignent des policiers au procès
Les policiers arrivés en premier dans la chambre où est mort Diego Maradona en 2020 ont dit mardi, au procès de l'équipe soignante, leur surprise de n'avoir vu aucun "élément médical" dans une chambre supposément médicalisée, dans laquelle la star était en convalescence.
"Je n'ai pas vu d'éléments médicaux dans la chambre. Je n'ai pas vu de sérums qu'il doit, je pense, y avoir lors d'une hospitalisation à domicile", a déclaré le commissaire-adjoint Lucas Farias, l'un des policiers entendus au troisième jour du procès de sept professionnels de santé, dans un tribunal de San Isidro (nord de Buenos Aires).
"Ce n'était pas un lit d'hospitalisation, c'était un sommier ordinaire, courant", et il n'y avait pas de défibrillateur, a pour sa part déclaré le commissaire Lucas Borge, autre policier arrivé sur les lieux à Tigre (nord de Buenos Aires) ce 25 novembre 2020.
Légende du football mondial, icône en Argentine jusqu'après sa mort, Diego Maradona était décédé d'une crise cardiorespiratoire, dans une résidence privée de Tigre, où il était en convalescence après une neurochirurgie pour un hématome à la tête.
Sept praticiens - médecins, psychiatre, psychologue, infirmiers - sont jugés pour "homicide avec dol éventuel", caractérisé lorsqu'une personne commet une négligence tout en sachant qu'elle peut entraîner la mort.
Pour ces négligences potentiellement fatales, ils encourent de 8 à 25 ans de prison, dans un procès qui devrait durer jusqu'en juillet, à raison de deux audiences par semaine.
Les accusés déclinent toute responsabilité dans le décès.
Des avocats de la défense on plaidé mardi que les policiers n'avaient aucune connaissance médicale les habilitant à se prononcer sur l'hospitalisation.
Les quatre policiers entendus étaient les premiers d'une centaine environ de témoins à venir, entre experts, famille, proches, médecins de Maradona au fil des ans.
Lucas Borge a raconté avoir été appelé vers 13H00 le 25 novembre par la résidence, et avait dépêché son adjoint Lucas Farias, qui quelques minutes plus tard l'avisait que Maradona était décédé.
Arrivé à son tour sur place, Lucas Borge a dit avoir été surpris par "la quantité de gens" dans le patio de la résidence, les soeurs, l'ex-épouse, les filles de Maradona, l'infirmière, la psychiatre - toutes les deux jugées.
A l'ouverture du procès mardi dernier, le procureur Patricio Ferrari a dans sa déclaration préliminaire dénoncé un "assassinat", une convalescence devenue "théâtre de l'horreur", une équipe médicale où "personne n'a fait ce qu'il devait faire". Il avait brandi face aux juges une photo de l'idole, mort sur son lit, le ventre atrocement gonflé.
Les policiers ont confirmé cette vision d'un Maradona "avec le ventre très gonflé, prêt à exploser", vêtu d'un tee-shirt et d'un short. "J'ai été surpris de voir Maradona comme ça. Je n'aurais jamais pensé me trouver face à cette image (...) avec tout ce qu'il représente", a indiqué M. Farias.
En amont du procès, le parquet avait décrit "une hospitalisation à domicile sans précédent, totalement déficiente et imprudente".
L.Miller--AMWN