
-
Washington n'a pas épuisé "tous les outils" pour faire pression sur Moscou, selon Kaja Kallas
-
Chassés du Pakistan, des Afghans face au néant d'une vie à reconstruire
-
Washington n'a pas épuisé "tous les outils" pour faire pression sur Moscou (Kallas à l'AFP)
-
Wall Street rebondit après sa chute de la veille
-
Nutri-Score, publicité alimentaire: le Cese préconise une approche plus contraignante
-
L'émissaire de Trump prévoit une nouvelle visite en Russie, selon le Kremlin
-
Les Philippins pleurent le pape François, venu les soutenir en 2015 après le typhon Haiyan
-
Chikungunya, cyclone... A La Réunion, les habitants témoignent de leurs difficultés à Macron
-
Pour le FMI, les droits de douane vont lester l'économie mondiale
-
Au Maroc, des bénévoles traquent les déchets qui empoisonnent le désert
-
Chefs d'Etat et têtes couronnées attendus aux funérailles du pape samedi
-
La reine Sonja de Norvège quitte l'hôpital après des difficultés respiratoires
-
Le pianiste Igor Levit va donner un concert de plus de 16 heures à Londres
-
L'or à plus de 3.500 dollars, le dollar sans élan face aux tensions entre Trump et la Fed
-
Etats-Unis: le gouvernement va collecter les dettes étudiantes impayées
-
Le retard fatal d'Athènes pour se préparer aux canicules
-
Les funérailles du pape se dérouleront samedi matin place Saint-Pierre
-
Taxes douanières: un responsable américain défend au Cambodge la politique de Trump
-
Play-offs NBA: Detroit met fin contre New York à une disette de 17 ans
-
La Bourse de Paris recule, attentive aux tensions entre Trump et la Fed
-
En pleine guerre commerciale, le suisse Roche va investir massivement aux Etats-Unis
-
La reine Sonja de Norvège hospitalisée à cause de difficultés respiratoires
-
Macron à La Réunion pour faire le point sur le chikungunya et les dégâts du cyclone Garance
-
Le Vatican prépare les obsèques du pape, où sont attendus Trump et Macron
-
Les migrants pleurent un pape qui les défendait face à Donald Trump
-
Oubliée la dynamite? Les talibans assurent vouloir préserver le patrimoine afghan
-
Basket/Euroligue: Paris à Istanbul pour viser toujours plus haut
-
Face aux menaces de Trump, les Québécois se découvrent plus Canadiens qu'ils ne le pensaient
-
Des shampoings aux aspirateurs, le petit commerce souffre des droits de douane de Trump
-
Pour se nourrir, l'Indonésie risque une déforestation massive
-
Action collective pour fédérer des hôteliers français et espagnols s'estimant lésés par Booking
-
Bluesky, rival de X, institue une icône pour les comptes certifiés
-
Concert "Solidarité Congo" à Paris: pluie de stars et discours engagés attendus
-
Macron attendu à La Réunion sur le chikungunya et les dégâts du cyclone Garance
-
Le Vatican en deuil prépare les obsèques du pape
-
A Buenos Aires, les larmes d'Argentins pour un pape pas comme les autres, le leur
-
Maduro traite le président salvadorien de "violateur en série des droits humains"
-
Nadal: "Le tennis ne me manque pas"
-
Angleterre: Ligue des champions dans le viseur pour Forest, victorieux à Tottenham
-
Wall Street termine en berne face aux tensions entre Trump et la Fed
-
Gymnastique: Biles "pas sûre" de poursuivre jusqu'aux Jeux de Los Angeles
-
Prix Laureus du sport: Duplantis, Biles et Lamine Yamal récompensés
-
Pour la recherche en ligne et l'IA, les Etats-Unis réclament le démantèlement de Google
-
La Russie reprend ses frappes en Ukraine, Zelensky attend une "réponse claire" de Moscou sur une trêve
-
Le pape est mort d'un AVC à 88 ans, suscitant une émotion planétaire
-
A Buenos Aires, larmes et prières d'Argentins pour un pape pas comme les autres, le leur
-
Trump prend la défense du chef du Pentagone, accusé d'une nouvelle faille de sécurité
-
USA: la chaîne de pharmacies Walgreens paie de nouveau pour la crise des opiacés
-
La mort du pape François déclenche une vague d'émotion à travers le monde
-
Marathon: les Kényans sans rivaux à Boston

Nagorny Karabakh: Bakou réfute toute exaction contre la population
L'Azerbaïdjan réfute toute accusation de "nettoyage ethnique" dans le Nagorny Karabakh et assure aux habitants de l'enclave qu'ils sont libres de partir ou de rester, a indiqué un conseiller du président à l'AFP.
A plusieurs reprises, le Premier ministre arménien Nikol Pachinian a accusé Bakou d'avoir procédé à un "nettoyage ethnique" dans l'enclave, désertée de la quasi-totalité de sa population depuis l'offensive éclair menée par l'Azerbaïdjan.
Dix jours après sa victoire militaire, Bakou assure que son armée n'est "pas entrée" dans Stepanakert, la "capitale" de l'enclave séparatiste toujours inaccessible à la presse.
"Nous nous abstenons délibérément de mettre des drapeaux azerbaïdjanais, nous savons qu'il reste des civils et nous connaissons leurs craintes", a déclaré lors d'un entretien à l'AFP Hikmet Hajiyev, conseiller diplomatique du président Ilham Aliyev.
Des forces de sécurité y sont déployées pour protéger certains sites, notamment religieux, selon Bakou.
Des négociations entre officiels azerbaïdjanais et responsables de l'enclave sur la transition sont prévues lundi à Stepanakert, a appris l'AFP.
Après la victoire éclair de Bakou et la capitulation le 20 septembre, la république séparatiste autoproclamée du Nagorny Karabakh a annoncé sa dissolution au 1er janvier 2024, plus de 30 ans après sa création.
Une période de transition est désormais prévue par l'Azerbaïdjan.
"Les négociations sont productives, avec en priorité la question du désarmement", indique le responsable azerbaïdjanais.
Alors qu'Erevan parle d'une série "d'arrestations illégales" et que les résidents ont fui par peur des représailles, Bakou affirme avoir procédé à l'arrestation de "5 à 6 responsables" qu'il accuse de "crimes de guerre" et n'avoir fait "aucun prisonnier".
'Réintégration'
"Nous savons que les Arméniens et les médias internationaux disent que nous allons arrêter tous les militaires. S'ils rendent les armes, ils sont libres et ont le choix de partir en République d'Arménie", précise le conseiller du président.
Hikmet Hajiyev - voix du pays auprès des interlocuteurs internationaux - martèle que les portes sont ouvertes aussi bien vers l'Arménie que vers l’Azerbaïdjan, avec un programme de "réintégration" mis en place par les autorités pour ceux qui souhaiteraient rester.
"La majorité d'entre eux se dit qu'elle ne peut pas vivre sous le drapeau de l'Azerbaïdjan, je peux respecter cela, même si ce n'est pas justifié", a fait valoir le haut responsable.
Le Nagorny Karabakh, à majorité chrétienne, avait fait sécession de l'Azerbaïdjan à majorité musulmane à la désintégration de l'URSS.
Il s'est opposé pendant plus de trois décennies à Bakou avec le soutien d'Erevan, notamment lors de deux guerres entre 1988 et 1994 et à l'automne 2020.
Interrogé sur la fuite de la quasi-totalité des civils arméniens de l'enclave, M. Hajiyev récuse le terme de "nettoyage ethnique", estimant que ces départs sont libres et qu'il n'y a pas eu "le moindre cas de violence" documenté depuis septembre.
"L'Azerbaïdjan souhaite voir le Nagorny Karabakh devenir une région florissante, prospère et surtout, pacifiée, comme il y a 30 ans", affirme-t-il.
L.Miller--AMWN